Racème (n. m.) Synonyme de grappe. Racinaire (adj.) Qui se rapporte à la racine. Voir caulinaire. Radicule (n. f.) Dans la semence, ébauche de la racine ou bourgeon racinaire de l’embryon. Voir : gemmule. Radié (adj.) Chez les Asteraceae, capitule avec des fleurs tubulées au centre et ligulées en périphérie. Voir disciforme, discoïde et ligulé. Raphide (n. f.) Cristal d’oxalate de calcium en forme d’aiguille constitué à l’intérieur d’une cellule. Récalcitrante (adj.) Se dit d’une semence ne survivant pas à la dessiccation et à la conservation au froid à une température en général inférieure à 15 °C. La plupart des espèces à semences récalcitrantes sont d’origine tropicale . Exemple : gland du chêne, marron… Replum (n. m.) Cadre d’origine placentaire qui persiste après l’ouverture du fruit. Exemple : replum des siliques de Brassicaceae. Rhéophyte (n. f.) Plante vivant sur les bords de mer. Rhizome (n. m.) Tige souterraine ordinairement rampante, servant d’organe de réserves et possédant des racines adventives. Exemple : rhizome du sceau de Salomon (Polygonatum multiflorum). Rhytidome (n. m.) Les cellules du liège ne tardent pas à mourir du fait de la présence de subérine. Isolé des autres tissus vivants, le liège reste en place plus ou moins longtemps, se crevasse et se détache par morceaux. Il constitue ce qui est appelé écorce dans le langage courant. Voir : méristème secondaire. Rosette (adj. et n. f.) Se dit des feuilles disposées et étalées en cercle au bas de la tige, ou plus rarement à son extrémité (cas des Agavaceae). Rostellum (n. m.) Lobe stigmatique stérile des Orchidaceae élargi pour éviter que le pollen de la plante se dépose sur ses propres stigmates. Ceci permet de limiter l’autofécondation et favorise le brassage génétique. Rubané (adj.) Se dit d’un organe plat en forme de ruban dont les deux extrémités sont d’une largeur plus ou moins égale. Voir : laminé. Ruminé (adj.) Se dit d’un albumen constitué d’une couche solide et d’une partie liquide; Ex. albumen de la noix de coco. Sagittée (adj.) Se dit d’une feuille ayant la forme d’un fer de lance dont les deux lobes sont rapprochés de l’axe principal. Voir : hastée. Samare (n. f.) Akène dont le péricarpe est muni d’une aile. Saprophyte (adj.) Se dit d’une plante se nourrissant de matières organiques en décomposition. C’est le cas de nombreuses plantes épiphytes. Sarcotest (n. m.) Partie externe du test, souvent plus ou moins charnue. Voir : endotest, sclérotest, test. Scarieux (adj.) Se dit d’un organe, membraneux, sec au contact, souvent translucide. Schizocarpe (n. m.) Fruit composé de plusieurs unités (méricarpes) se séparant à maturité. Ex. : le schizocarpe des Apiaceae est composé de deux méricarpes. Voir : méricarpe. Schizogène (adj.) Se dit de canaux sécréteurs. Sclérotest (n. m.) Partie médiane du test, souvent dure. Voir : endotest, sarcotest, test. Scutellum (n. m.) Cotylédon très élargi et en position latérale des Poaceae. Semi-infère (adj.) Se dit d’un ovaire dont la position est à une hauteur équivalente à celle du point d’insertion des pièces florales. Voir supère et infère. Septicide (n. m.) Se dit d’une capsule dérivée d’un ovaire fécondé dont les fentes de déhiscence sont situées au niveau des septums. En cas de déhiscence septicide, la placentation est ordinairement axile, avec, en général, la formation de parois ou septums. Voir : loculicide. Sériaux (adj.) Se dit des bourgeons surnuméraires placés au-dessus du bourgeon principal dans un plan vertical passant par l’axe de la tige. Ils sont caractéristiques des Dicotylédones. Voir : collatéraux. Sessile (adj.) Se dit d’un organe directement attaché à son support sans partie intermédiaire fine. Ex. : fleurs sessiles des Asteraceae ; feuilles sessiles sans pétiole distinct des Primulaceae ; stigmates sessiles des pyxides des Papaveraceae… Simple (adj.) Se dit d’un organe non composé de plusieurs éléments. Par exemple, la feuille de chêne est une feuille entière. Spadice (n. m.) Inflorescence particulière de type grappe à pédoncules nuls et axe floral charnu des Araceae. Le spadice est sous-tendu par une spathe. Exemple : Zantedeschia. Spathe (n. f.) Chez les Monocotylédones, pièce d’origine bractéolaire à l’aisselle de l’inflorescence. Spermaphytes (n. f.) Plantes à graines. Comprend les Gymnospermes et les Angiospermes. Sporoderme (n. m.) Ensemble des enveloppes entourant le cytoplasme du grain de pollen, comprenant de l’extérieur vers l’intérieur, l’exine et l’intine. L’exine comprend le tectum, l’infratectum (à columelles ou à granules), la sole et l’endexine. Staminode (n. m.) Etamine stérile ou vestige d’étamine, souvent présent dans les fleurs unisexuées femelles. Voir : pistillode. Stèle (n. f.) Ensemble des tissus conducteurs primaires occupant la partie centrale d’un organe. Stéroïde (n. m.) Composé dérivant d’un noyau polycyclique, appelé noyau du cyclopentanophénanthrène. Les stéroïdes représentent une famille de composés très nombreux et très variés. De petites modifications de la structure ou de leurs substituants (composés chimiques se substituant aux carbones n°10 et 13 du noyau) se traduisent par d’importantes modifications de l’activité biologique. Stigmate (n. m.) Partie terminale du carpelle où se dépose le pollen au moment de la pollinisation. Voir : style, ovaire, carpelle. Stipule (n. f.) Pièce d’origine foliaire à la base d’une feuille. Stipulée (adj.) Se dit d’une feuille pourvue de stipules. Voir : exstipulée. Stolon (n. m.) Tige aérienne, rampante, à entre-nœuds longs dont les noeuds s’enracinent par endroits et donnent naissance à un nouveau pied par multiplication végétative. Ex. : le stolon du fraisier. Stomate (n. m.) Structure foliaire organisée ayant des mécanismes d’ouverture réversibles permettant les échanges gazeux. Style (n. m.) Partie intermédiaire entre l’ovaire contenant l’ovule et le stigmate. Succulente (adj.) Plante accumulant de l’eau dans tout ou partie de ses tissus. Ces plantes sont généralement xérophiles. Supère (adj.) Se dit d’un ovaire dont la position est plus haute que celle du point d’insertion des pièces florales. Voir infère et semi-infère. Sympétale (adj.) Syn. : gamopétale. Symplésiomorphique (adj.) Se dit d’un caractère basal ou primitif (archaïque) partagé par un ensemble de clades et ne pouvant donc être discriminant. Sympodiale (adj.) Un entre-nœud est formé par le bourgeon terminal dont l’activité végétative cesse pour devenir normalement florifère. Ce bourgeon est ensuite relayé par un bourgeon axillaire qui forme l’article suivant. Voir croissance monopodiale. Synapomorphique (adj.) Se dit d’un caractère dérivé et partagé par un ensemble de clades. Il peut être utilisé comme un caractère discriminant, à l’inverse de celui symplésiomorphique. Syncarpe (adj.) Se dit d’un gynécée formé de carpelles soudés. Voir : apocarpe. Tapis (n. m.) Ensemble des cellules superficielles tapissant la paroi interne des loges des anthères. Taxon (n. m.) Tout ensemble, nommé, d’organismes. Il ne s’agit pas forcément de clades, ce dernier terme étant plus restrictif (=taxon monophylétique). Tenuinucellé (adj.) L’ovule est dit tenuinucellé quand la cellule mère archégoniale ne subit aucune mitose préliminaire tangentielle et donne directement la cellule mère des mégaspores, sans formation d’une calotte, homologue du tapis. Voir crassinucellé. Tépale (n. m.) Pièce d’un périanthe dans lequel il est impossible de distinguer les sépales des pétales. Voir : pétale, sépale. Ternée (adj.) Se dit d’une feuille composée de trois folioles. Ex. : feuille du trèfle. Test (n. m.) Enveloppe de la graine composée, de l’intérieur vers l’extérieur, du sarcostest, du sclérotest et de l’endotest. Testa (n. m.) Syn. : test. Tétrade (n. f.) Le pollen est libéré à l’état de tétrades quand, une fois formés, les grains de pollen sont disposés en quatre paquets correspondant à la disposition tétraédrique des quatre méiospores. Ex. : les tétrades des Ericaceae. Voir : monade. Tétradyname (adj.) Dans le cas des Brassicaceae, caractérise l’ensemble des six étamines de tailles inégales : quatre longues et deux courtes. Thalle (n. m.) Voir thallophytes. Thallophyte (n. f.) Plante à thalle qui ne différencie pas de tiges, de feuilles et des racines. Les Thallophytes comprennent les algues, les champignons et les lichens. Voir : Cormophyte. Thèque (n. f.) Loge de l’anthère. Thérophyte (n. f.) Selon la classification de Raunkiaer, plante annuelle dont la survie de l’espèce durant les périodes défavorables (hiver, sécheresse) est uniquement assurée par les graines. Voir : phanérophyte, chaméphyte, hémicryptophyte, cryptophyte. Thyrse (n. m.) Inflorescence composée de cymes de taille réduites disposées en grappe. Tordue (adj.) La préfloraison ou la disposition des sépales (ou pétales) est dite tordue si chaque sépale (pétale) a un bord recouvrant et un bord recouvert. Voir : imbriquée, ouverte, valvaire. Trachéide (n. f.) Vaisseau dit imparfait des plantes vasculaires les plus primitives, conduisant la sève brute et dont les parois ne sont pas perforées. Voir : trachéophyte, vaisseau. Trachéophyte (n. f.) Plante ayant des vaisseaux imparfaits (trachéides) ou parfaits (vaisseaux). Comprend les Fougères et plantes alliées, les Gymnospermes et les Angiospermes. Tri-aperturé (adj.) Se dit d’un grain de pollen ayant trois apertures. Exemple : pollen des Ranunculopsida, des Rosopsida et des Asteropsida. Trichome (n. m.) Toute structure épidermique ayant la forme de poil. Tubercule (n. m.) Partie renflée d’une racine ou d’une tige, contenant des réserves et portant des bourgeons adventifs caulinaires et racinaires. Exemple: pomme de terre (origine caulinaire), manioc (origine racinaire). Type (n. m.) Echantillon d’herbier, parfois illustration ou fossile, ayant servi à la diagnose validement publiée d’une espèce. Uniaperturé (adj.) Se dit d’un grain de pollen n’ayant qu’une seule aperture. Exemple : pollen des Magnoliopsida (au sens, Dicotylédones basales) et des Liliopsida (Monocotylédones). Voir : tri-aperturé. Unicarpe (adj.) Se dit d’un gynécée constitué d’un seul carpelle. Utricule (n. m.) Organe ayant la forme d’une outre. Vaisseau (n. m.) Elément conducteur de la sève brute dans le xylème, présent chez les végétaux évolués. Valvaire (adj.) Se dit de la préfloraison ou de la disposition des pétales ou des sépales qui ne se recouvrent d’aucune façon mais se touchent par leur bord. Voir : imbriquée, ouverte, tordue. Ventral (adj.) Voir abaxial. Verticillé (adj.) 1. Se dit des feuilles (ou des bractées) insérées en nombre supérieur à deux sur le même niveau de la tige. Voir alterne, distique et opposé. 2. Se dit d’organes insérés au même niveau en un cercle. Ex. : étamines verticillées par opposition à celles spiralées. Vivace (adj. et n. f.) Plante vivant plusieurs années ou indéfiniment. Synonyme : pérenne. Voir annuel et bisannuel. Volubile (adj.) S’enroulant autour des corps voisins. Exemple : le liseron. Vrille (n. f.) Filament volubile. Exemple : vrille terminale des feuilles composées de haricot. Xérophile (adj.) Se dit d’une plante adaptée à des conditions de sécheresse. Il y a deux types principaux : les plantes à feuilles coriaces ou celles succulentes (grasses). Xylème (n. m.) Le xylème est un tissu conducteur de sève brute constitué de cellules mortes à la fin de leur différenciation (trachéides, vaisseaux ligneux, fibres) et de cellules vivantes (cellules du parenchyme vertical, cellules de contact et cellules à réserves). Il permet la circulation de la sève brute conduite des racines aux organes photosynthétiques et constituée d’eau et d’éléments minéraux prélevés dans le substrat de culture. Voir : phloème. Zoïdophile (adj.) Se dit d’une fleur dont la pollinisation est assurée par les animaux. Dans ce cas, les pétales, si ce n’est l’ensemble du périanthe, sont pétaloïdes. Voir : anémophile. Zygomorphe (adj.) Se dit d’une fleur ayant un plan de symétrie et non un axe. Syn. : irrégulière. Voir : actinomorphe.
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Définitions et utilité d’un herbier
Généralités Un herbier consiste en des plantes séchées, puis fixées sur des planches de papier sans acide, protégées par du papier calque et par des chemises cartonnées. Le terme herbier désigne aussi les lieux où sont stockées ces plantes séchées. Les herbiers les plus importants au monde, en nombre d’exsiccata (plantes séchées) sont celui du Muséum national d’histoire naturelle (8 millions d’échantillons) puis celui du Jardin botanique royal de Kew. Les herbiers peuvent être privés ou institutionnels. Actuellement, sans doute du fait de restrictions budgétaires, de nombreux jardins botaniques se posent le problème de l’utilité d’un herbier. Utilité des herbiers Il y a quelques années la constitution d’un herbier était obligatoire dans de nombreux cursus scolaires ou universitaires et tous les jardins botaniques en possédaient. Actuellement, certains discutent de la nécessité d’un herbier alors que ses utilisations sont nombreuses (Raynal-Roques,1994). L’herbier est une collection végétale morte. Il présente une objectivité et une réalité certaine par rapport à des photographies. Ainsi, une plante séchée peut être déterminée une nouvelle fois après hydratation. L’herbier permet donc la validation potentielle d’identifications effectuées sur le terrain. L’herbier est une image à des temps donnés de la végétation de différents sites. Il est ainsi possible d’évaluer l’évolution de la biodiversité. Il permet d’établir des inventaires cartographiques des plantes. L’herbier permet des comparaisons entre différents taxons et des études systématiques. Les planches d’herbier peuvent être prêtées facilement entre différentes institutions du monde entier alors qu’il serait difficile d’échanger du matériel vivant ou d’organiser des expéditions sur le terrain. Certains pensent, à tort, que l’herbier peut être remplacé par des images numérisées sur CD-Rom. Plusieurs raisons s’opposent à cet argument. D’une part, l’investissement nécessaire et son entretien (ordinateur multimédia, appareil photographique numérique, mémoire) sont souvent hors de portée de nombreux jardins botaniques. D’autre part, les nombreuses clés nécessaires à l’identification d’une plante devraient être remplacées par autant de photographies : la quantité de mémoire à gérer deviendrait, en l’état actuel des techniques, extrêmement difficile, et dans tous les cas, très coûteuse. De plus, certains aspects floraux négligés à un temps donné donc non mémorisés peuvent s’avérer, à l’avenir, primordiaux. Dans ce cas, seule la possession de la plante séchée permettra de valider la détermination.
Utilisations des Asteraceae
Utilisations socio-économiques —– Certaines Asteraceae ou Compositae sont des plantes alimentaires : la chicorée (Cichorium intybus) dont existent différents cultivars permettant d’obtenir soit des salades, soit de la chicorée soluble après torréfaction de la racine. Les feuilles d’estragon (Artemisia dracunculus) sont condimentaires. Les utilisations médicinales des Asteraceae sont multiples : l’achillée (Achillea millefolium), la bardane (Arctium minus), l’arnica (Arnica montana), l’absinte (Artemisia absinthium), le genépi des glaciers (Artemisia glacialis), la pâquerette (Bellis perennis), le chardon argenté (Carlina acaulis), le bleuet (Centaurea cyanus), la chicorée (Cichorium intybus), l’eupatoire chanvrine (Eupatorium cannabinum), la piloselle (Hieracium pilosella), la camomille (Chamomilla recutita), le pétasitès hybride (Petasites hybridus), le sénéçon de Jacob ou la jacobée (Senecio jacobaea), la verge d’or (Solidago virgaurea), la tanaisie (Tanacetum vulgare), le pas-d’âne (Tussilago farfara). Le pyrèthre, composé insecticide, est extrait de Tanacetum cinerariifolium. De l’huile de tournesol est produite à partir des semences de tournesol (Helianthus annuus). L’arôme de l’absinthe est obtenu grâce à Artemisia absinthium. D’autre part, cette famille fournit un très grand nombre de plantes ornementales.
Genres européens d’Asteraceae
Les Asteraceae sont représentées dans la flore de notre région par les genres suivants : Achillea, Acroptilon, Aetheorhiza, Ambrosia, Anacyclus, Anaphalis, Andryala, Antennaria, Anthemis, Aposeris, Arctium, Arctotheca, Argyranthemum, Arnica, Arnoseris, Artemisia, Aster, Asteriscus, Atractylis, Baccharis, Bellis, Bellium, Berardia, Bidens, Bombycilaena, Buphthalmum, Cacalia, Calendula, Callistephus, Calycocorsus, Carduncellus, Carduus, Carlina, Carpesium, Carthamus, Catananche, Centaurea, Chamaemelum, Cheirolophus, Chiliadenus, Chondrilla, Chrysanthemoides, Chrysanthemum, Cicerbita, Cichorium, Cirsium, Cnicus, Coleostephus, Conyza, Coreopsis, Cosmos, Cotula, Crepis, Crupina, Cyclachaena, Cynara, Dahlia, Delairea, Dendranthema, Dimorphotheca, Dittrichia, Doronicum, Echinops, Eclipta, Erigeron, Eupatorium, Filago, Flaveria, Galactites, Galinsoga, Gamochaeta, Gazania, Geropogon, Gnaphalium, Guizotia, Hedypnois, Helenium, Helianthus, Helichrysum, Hieracium, Homogyne, Hyoseris, Hypochaeris, Inula, Jasonia, Jurinea, Lactuca, Lapsana, Leontodon, Leontopodium, Leucanthemella, Leucanthemopsis, Leucanthemum, Leuzea, Ligularia, Logfia, Lonas, Mantisalca, Matricaria, Mycelis, Nananthea, Nauplius, Notobasis, Olearia, Omalotheca, Onobroma, Onopordum, Osteospermum, Otanthus, Petasites, Phagnalon, Picnomon, Picris, Plagius, Podachaenium, Prenanthes, Pseudognaphalium, Ptilostemon, Pulicaria, Reichardia, Rhagadiolus, Rudbeckia, Santolina, Saussurea, Scolymus, Scorzonera, Senecio, Serratula, Sigesbeckia, Silphium, Silybum, Solidago, Soliva, Sonchus, Staehelina, Stemmacantha, Tagetes, Tanacetum, Taraxacum, Telekia, Tephroseris, Tolpis, Tragopogon, Tussilago, Tyrimnus, Urospermum, Verbesina, Xanthium, Xeranthemum, Zinnia.
Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829)
Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829) fut un biologiste français connu pour sa Flore française dans laquelle était utilisée pour la première fois des clés analytiques permettant d’identifier les plantes classées selon un système naturel. Il est aussi connu pour sa théorie selon laquelle des variations du milieu induisent des modifications héréditaires des organes.
Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829)
Sa théorie connue sous le nom de Lamarckisme se résume ainsi : – La génération spontanée. Les premiers êtres vivants se seraient formés par génération spontanée. – La modification des espèces sous l’action du milieu. Les êtres vivants, nés de manière spontanée, se perfectionnent avec le temps sous l’action du milieu. – L’hérédité des caractères acquis. Les transformations dues à l’action du milieu se transmettent aux générations suivantes s’ils sont communs aux deux sexes.